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Affichage des articles du 2011

Chronique toulousaine

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De multiples remarques nous sont parvenues, des rumeurs, des bruits coureurs : un manque de post se ferait sentir parmi notre public de lecteurs. C'est donc le nombril ronronnant que cent fois sur le clavier nous arrêtons de remettre à plus tard notre ouvrage. Il faut dire que c'est la saison des nouvelles… Si nous choisissons de nous en tenir à la chronologie, les événements se sont déroulés dans cet ordre : Nous avons finalement fait la moue à la maison d'Amou - voir un post précédent - dont le propriétaire avait semble-t-il du mal à se séparer ; 5000 malheureux Euros de trop nous ont décidés à abandonner la Belle sur son mamelon mais à quelque chose malheur est toujours bon et les atermoiements du papy nous ont conduits à découvrir notre futur nid. Notre maison à Louer C'est ainsi que le 12 décembre nous avons acheté une maison à Louer (40380) - notez le "L" majuscule. Plus proche de Dax, plus proche de l'océan, plus typiquement Lan

La télé de Lilou

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Comme le Canada dry, ça ressemble à du journalisme classique, ça ressemble à un docu new-age, ça ressemble à une jeune journaliste qui s'est inventé une télé à sa mesure avec les sujets qui lui chantent.  Si vous prenez 20 mn pour écouter l'interview d'Ana Signoret par Lilou Macé, regardez l'écran au moment du générique jusqu'à son point final. Merci à celui qui m'a envoyé ce lien. J'ai passé un bout d'après-midi avec la télé de Lilou et ma foi j'irais bien au Mexique, à Hawaï… ou vers une rencontre en France afin de faire swinguer l'ambiance béret baguette avec elle et tous les autres co-créateurs qui nous entourent… http://www.youtube.com/embed/M1qnh4XFVlY http://www.youtube.com/watch?v=Xfa6YOUFNkM http://wn.com/lateledelilou Et vous, que diriez-vous après : Le dimanche balançait entre torpeur et… (Post dédié à Lucile M et à la Lilou de Brigitte)

Savoir être gourmand et curieux

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Que le vert dure ;-) ok pas terrible mais c'est tout ce qui me vient... Pour meubler le temps de "la patience" : idées lecture =  Au-delà des pyramides de D. Kennedy (pocket) Le retour du voyage en orient de B. Etienne et S. Masaaki (EntreLacs) La chorale des maîtres bouchers de L. Erdrich (Terre d'Amérique / A Michel) + série diffusée sur la BBC : Downton Abbey ... le tout, doigts croisés... Enjoy :-)  Marraine Céline Il était temps de mettre en lumière Marraine Céline qui a hautement remporté le prix Fémina du Commentaire 9moisoff.  Pour l'instant nous n'arrivons pas à mettre en lumière vos commentaires qui restent cachés au bas du post mais nous aimerions que ça change. Bientôt, nous trouverons le sésame qui permet de les afficher. Histoire de vocabulaire Alors que nous rentrions d'un we aveyronnais, la radio martelait un drôle de mot. Pas 1 fois, non, 5 ou 6, le temps de joindre Saint-Martial au viaduc du Viaur puis de dépasser le r

Porter sa voix

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Après laboratoires et pharmacies, ma boite à nouvelles virtuelles s'emplit d'infos plus ou moins alarmantes, édifiantes, confiantes, défiantes… complétez la liste des adjectifs en évitant fiente et cliente ;-) J'en buzze une ( agoravox ) car on ne se refait pas, un boulot correct côté média  (j'ai pas dit objectif !), ça se souligne. C'est fou comme je me sens jeune ce matin à manipuler un vocabulaire dit moderne. Et vous comment ça va ?

Rhume de l'âme

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Alors qu'une goutte de Ravintsara nous raviva et ravira ARTE propose, mardi 8 novembre 2011 à 21 heures 50, le film documentaire  Maladies à vendre  ou “Comment l'industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins”, réalisé en 2010 par Anne Georget et Mikkel Borch-Jacobsen. …“D'astucieux stratèges ont aussi fait décoller le marché des antidépresseurs au Japon, où la dépression constituait un état rare, en popularisant le  rhume de l'âme ”… Ce matin en ouvrant mes mels, je tombe sur cette info tout en me mouchant et buvant une de mes potions magiques (eau chaude, citron, miel et un mélange de 16 huiles essentielles, savamment composé par notre très cher ami docteur allergique au marketing dominant).  Ce mélange, fidèle compagnon au spectre large, nous a accompagné durant nos 9 mois off et continue à nous servir de puissant grigri.  Un grigri qui en appelle un autre : le grand mouc

DONT FORGET…

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… WE ARE MOTÖRHEAD AND WE PLAY ROCK N' FUCKIN' ROLL ! Tout est dit … Nous avions rendez-vous dimanche soir à 19h00, l’heure du thé dansant. Trois bons quadras pour une cure de jouvence accompagnés d’un jeunot de 21 balais pour son éducation et 5000 autres personnes pour remplir un Zénith. Un public plutôt masculin, faut reconnaître. Quelques jeunes chevelus énervés, debout devant la scène, entourés d’un parterre plus calme puis des gradins remplis de fans bedonnants et dégarnis arborants fièrement les t-shirts noirs souvent  collectors aux couleurs de l'idole. - Y’a une première partie ? - Chais pas, on s’en fout, non ? Y’en avait une. Cinq d’jeuns énervés. “ Salut on est Nowan ! ” Tels les papys des Muppets je demande à Squal s’il les connaît. Il sait pas. Armand non plus, pas plus qu'Antoine… C’est un peu long comme intro, faut reconnaître. Un chanteur frisé comme Nicolas Canteloup, des musiques et des textes profonds comme du Noir Dés et enga

À un détail près

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Oups, je me suis trompée de blog. Tant pis, je joue le doublon. Pour les textes produits par cette proposition, faudra attendre un peu et vous rendre sur le blog des Ateliers de la Coquille. Bien à vous. Le ciel est gris sur Toulouse, impatients nous espérons une vente rapide de la maison afin de partir dans les Landes où un mamelon attend notre caresse.  Si la proposition vous inspire, surtout lancez-vous, nous serons ravis d'accueillir vos textes, fragments, poésies, début de roman and so on… Ateliers de la coquille Saison 9 - 2011-2012 - n° 3 - 18 octobre 2011 Détails Chauffe précise (massage et auto-détente) Par 3, observez celui qui reçoit le massage et choisissez avec soin une partie très précise de sa peau que vous masserez avec une très grande attention et énormément de tendresse. Tourner. Le tout en silence of course. Vous allez vous baladez dehors, pas trop loin et vous allez choisir un détail, n’importe lequel (laissez-vous attirer, séduire…)

Putain, un an !

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Un an jour pour jour que nous décollions, épuisés et heureux, de Toulouse d’abord et de Roissy ensuite. Une aventure de neuf mois. Une gestation et pas la moindre idée de ce qui verrait le jour à notre retour. Un départ qui faisait suite à une fausse couche, un projet de changement de vie et d’achat d’une maison qui n’avait pu arriver à terme. L’idée de recommencer nous a pris au bout de sept mois et demi. C’était en Uruguay au fond d’une chambre utérine entre deux immersions dans les eaux maternantes de la Pachamama. Le désir d’une nouvelle maison, d’une installation à la campagne, d’un retour à la nature et de retrouver un rythme en lien avec les saisons. Une ferme à Toulouzette nous a fait de l’œil, nous a fait rêver, projeter, planifier. Contrairement à la première, elle n’était pas fière, elle était bonne fille et s’offrait à nous pour un prix raisonnable. Hélas, loin des yeux, loin du cœur, elle n’a pas su nous attendre et elle s’est donnée à un prétendant plus d

Quand tout va bien

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Rien n'affleure, ça fleure la tranquillité, le geste sûr, le pas régulier, le corps en silence, la tête itou, le cœur ouvert, le temps coule, les évidences se présentent les unes après les autres, les idées sombres ne font pas long feu même que parfois yen a même pas. Ah qu'il est bon de cultiver les jours comme ça. Bonne journée à vous tous

See you

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Depuis hier, je reçois sur ma boite mail différents hommages à Steve Jobs, notamment son fameux discours à la Stanford University. Je me permets de transférer le lien (en anglais) et la traduction proposée par Pascal Perrat. http://www.entre2lettres.com/2011/10/ladieu-de-steve-jobs-soyez-insatiables-soyez-fous/ http://www.youtube.com/watch? v =x1Z9Ggqr84s   Je suis une inconditionnelle d'Apple depuis 1987 même si je n'ai pas suivi la vague de l'I-Phone. J'ai failli lâché l'affaire en 1995 mais Steve Jobs est revenu et j'ai continué avec la Pomme. Ma vie n'aurait pas été la même sans cet homme et son génie créatif. Sa façon de penser "à côté" a été un exemple pour moi. Qu'il en soit ici remercié. Paix à son âme. Même si l'I-Phone est devenu aujourd'hui le symbole de la mondialisation et du consumérisme.

Gros plan

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L'été tient le rayon haut, l'automne somnole, la rentrée s'étire. Le tirage en ligne du Jeu Cartao se précise, allez donc voir, tentez votre chance et envoyez moi vos textes en passant par "commentaire", j'ai besoin d'essais pour peaufiner la réception et la mise en ligne des textes produits par vous. Alfred est à Paris, je fais visiter la maison et tourne dans le quartier comme si j'étais en voyage, mon nouveau Lumix en main. J'ai tenu deux mois et demi sans un ange de lumière à portée de main et hier, j'étais heureuse. Gros plan dans le quartier

Remise de machette

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Bien sûr, il y a les remises de peine, les remises de prix, les remises à neuf, les remises en jeu, les remises en cause, les remises en place, les remises en état, les remises tout court, celles où l’on cache son bordel mais rien ne vaut une remise de machette entre poteaux devant une petite coupette. Une remise en main, une remise en train qui nous remet en tout état de cause, en place, à neuf et en joie devant les amis.  Une machette toute simple, outil précieux pour dégager le chemin devant soi, pour travailler du coco, pour philosopher devant le fil de la lame sans vague à l’âme.  Ce soir les ateliers mots recommencent, ce soir nous trousserons quelques manchettes à la machette… Armand, notre chroniqueur gagnant de “9moisoff”, sera là. Gloire à notre commentateur le plus assidu, le plus constant, parfois mis en ballottage avec Eric, Gaël ou Marraine Céline mais qui a su préserver son avance contre vents et marées.

Permis I

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Ce matin, le temps d’un aller-retour à Casino…  15 secondes aller, 5 mn d’attention mi PQ mi chagrine, 20 secondes retour, 3 idées passagères. Le première monte du déflorage rapide d’une enveloppe officielle que j’arrache selon les pointillés et lis en biais “12 points”, ah ! C’est ça ! Je tends l’enveloppe à Alfred et démarre ma virée au Casino (au-à, mon cœur balance, mais l’ambiguïté va de soi, non ?)… Et voilà, de nouvelles idées embarquées qui viennent perturber le cours du récit. Plouf, plouf, plouf… Devant le métro, l’analogie surgit, grinçante, vibrante, géante et béante… Ma fierté teintée d’ironie devant mes 12 points retrouvés s’aligne sur ma vie. Ma conduite automobile me ressemble, normal, non ? Mais là, d’un coup, l’alignement se fait et ça me rend triste. Je suis comme je suis et pas grand chose ne change. J’ai beau pousser mon 120 sur le périf, conduire avinée, râler comme un putois du Colorado avant de mordre la ligne blanche pressée de doub

Quotidien III

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Entendre parler de quotidien m'évoque des images de journaux, de ceux qui, comme leur nom l’indique, sortent tous les jours, invariablement et aussi de ceux que tous les matins j’écoute à la radio dans ma salle d’eau. Ce quotidien-là, nous l’avons fièrement quitté durant neuf mois. Pas de journal, sauf parfois pour en admirer la typographie exotique. Pas de radio, pas de télé sauf exception dûment choisie et programmée. Le quotidien ne la ramenait pas, battu en brèche par un mouvement toujours différent. Nous exultions, vainqueurs et sûrs de notre capacité à le maîtriser, à lui imposer la loi du plus fort, c’est à dire la nôtre. Il a bien eu quelques soubresauts, quelques velléités de s’installer en ces rares occasions où nous avons posé nos sacs un peu plus longtemps et nous, magnanimes, l’avons laissé faire, sachant un nouveau départ programmé. Neuf mois durant lesquels toutes les journées sont différentes, neuf mois passés à utiliser au mieux notre temps, neuf m

Quotidien II

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Quitte à lancer la canne… Autant commencer à caqueter ici Toulouse, maison de ville, au pied du métro Barrière de Paris, des commerces, écoles, poste… au calme dans petite rue, exposition sud. 125 m2 : cuisine, salon/salle à manger, 3 chambres, 1 bureau, 1 wc, 1 sde, 1 buanderie. Plus un studio ou bureau ou cabinet pour profession indépendante avec une petite salle d’attente et un autre wc, entrée indépendante. Plus terrasse couverte (13 m2) sur l’avant donnant sur jardinet (60m2), plus patio à l’arrière (12 m2). 393 500€ (agence s’abstenir totalement) Pour changer de quotidien…  mais échappe-t-on au quotidien ? Peut-être pas mais comme le quotidien change au quotidien heu ! Je sens que je vais tourner en rond… Alors retournons éclairer la chambre d'Antoine Et nous tous, faisons tourner comme un bon maté comme une bonne maison cherchant nouveau propriétaire

Quotidien

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Chipé sur commerces-immarcescibles.blogspot.com Sur les marchés les prunes abondent, les tomates ont retrouvé leur goût, les poivrons invitent au gaspacho, les mamies sont de sortie sous le soleil matinal, les gosses crient dans la cour de récréation. C’est la rentrée. Alfred a repris ses formations en kinésiologie et rentre de Paris, les clients défilent à nouveau dans la cour et se trompent toujours de sonnette. Je peaufine avec Yves la mise en ligne du Cartao, nom provisoire des Écrits à la carte, le jeu que j'ai inventé pour nous poussé à écrire durant le voyage.  Je reçois des anges par la Poste et me demande d’où ils viennent.  Fait notable, je retrouve l’usage des mots français. À notre retour, je les cherchais, ils se dérobaient, je traquais ma mémoire avec méfiance et confiance, je m’amusais de mes confusions, lapsus, trous noirs et pages blanches. Mais ce matin au marché, je me sens de retour, à nouveau familière et à l’aise.  Le truc, c’est comment retrouver d

La petite enveloppe rouge

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Nous étions le 16 octobre 2010 et pour fêter notre départ nous avions invité les copains à partager une paella à midi. À cette occasion, nous reçûmes quelques cadeaux et, emportés par notre succès, nous préparâmes une seconde paella pour le soir. Yves nous avait même concocté une chanson qu’il chanta avec Maril en s’accompagnant au piano. Bref, une belle fête, digne d’un beau départ. Ce jour-là, Cathy et Gijs nous prirent à part pour nous remettre une petite enveloppe rouge sur laquelle était écrit “ À ouvrir en cas d’urgence ”. Après les remerciement d’usage et dans le feu de la fête, nous la fourrâmes au fond d’une poche et ce n’est que bien plus tard, les convives partis, que nous l’ouvrîmes pour découvrir à l’intérieur… deux billets verts de 50$ ! Aussi surpris par le montant que perplexes quant à son futur usage, nous rangeâmes précautionneusement  l’enveloppe rouge au précieux contenu. Durant les neuf mois qui suivirent, nous pensâmes régulièrement à notre viatique

Foc

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Feigoëllette, mot valise Cette valise si difficile à défaire Celle que personne n'a envie de se faire non-plus Feigoëllette, des haricots multicolores Voguant toutes voiles dehors Sur la route des Indes et des épices, Des esclaves et des conquérants L'orage gronde en ces soirées caniculaires Tonnerre et bourrasques, électricité dans l'air Le navire tangue, comme déboussolé Le mal de mer nous guète  Le remède est connu : se caler l'estomac Une bonne feigoëllette Quoi de mieux pour cela ?

Feigoëllette

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Prenez un samedi caniculaire du mois d’août Ajoutez une ou deux dents de mauvais poil Pimentez de travaux pour le beau et le goût Engueulez-vous avec votre très chère moitié Obéissez à son désir feigoadesque Arpentez Leclerc à la recherche d’ingrédients Notez l’absence d’oreilles, queues et pieds de cochons Pensez à renoncer et savourez la joie Louchez côté poissons ou grillades estivales Balancez entre renoncement et tête dure Choisissez la tête de lard et passez en caisse Tentez votre chance dans le Casino voisin Mauvaise pioche, faute de porc tournez-vous vers la vache Plats de côte et os à moelle feront bien l’affaire Heureux vous vous dirigez vers les haricots  Noirs et rouges absents, seuls les blancs vous font de l’œil En transe vous inventez vite un nouveau plat   la feigoëllette, savant mélange culinaire Un peu cassoulet et un peu feigoada Elle réunit blancs et rouges, oignons vieux et aulx Porc et vache, se marient sous une pluie d’épices Cumin, curcuma, piment, cinq baies

Retour gagnant

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Longtemps que plus rien écrit… L’ étonnante impression d’être rentrés de 15 jours de congés. Troublant. Le quotidien que nous avions laissé ici tente de nous happer, de nous reprendre dans ses (in)confortables filets. Nous avons observé comment les habitudes sont vite réveillées par les environnements familiers et nous tentons de résister au chant de ces Sirènes. Surtout ne pas replonger, continuer à surfer sous peine de s’engluer. Heureusement, c’est le mois d’août, le mois des vacances, du farniente collectif ; la pression est un peu relâchée et nous pouvons prendre du temps pour notre atterrissage. Et puis les souvenirs sont là, les images remontent, les anecdotes font des bulles. Pas question de les laisser dépérir, elles nous donnent leur force, nous rappellent d’autres réalités, d’autres cieux, d’autres sourires. Neuf mois, le temps de la gestation d’un inconnu qui va voir le jour. Aujourd’hui, nous vivons les contractions d’un accouchement préparé depuis longtemps. Notre nouvel

Six petits vers de terre

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La ligne d’horizon est là Droite devant moi Un pas, un autre Garder l’équilibre Prendre soin Et avancer loin Le ciel pleure, mon ordi refuse de me restituer les photos du voyage, le Lumix me manque, alors je parcours la toile et découvre des pépites Photo chipée sur coumarine .blogspot.com/

Le livre et l'ordinateur

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Et si nous arrêtions d'opposer les technologies ? Petit exercice simple : Chaque fois que nous utilisons la conjonction de coordination "ou", pensons à la remplacer par "et". Et, et, et… Contemplons les perspectives. Lien reçu ce matin http://www.youtube.com/watch?v=Q_uaI28LGJk&feature=related Perso : le livre et l'ordinateur sont deux mamelles auxquelles j'aime m'abreuver.

SNCF

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Deprofundis pour nous enfer et damnation pour le voleur Adieu Lumix Notre cher ange de lumière notre seconde vue durant ce voyage dérobé à Buenos-Aires le dernier jour à l'hôtel que le voleur sache notre peine Bonjour nature disciplinée, Adieu quadrilatères des villes sud-américaines Au revoir Immensité Retour vers les maisons sages Bonjour l’été et ses pluies froides Adieu l’hiver et sa douceur humide Bonjour ma langue et mon impatience Adieu temps de réflexion avant toute expression Non, non, pas adieu… Le train traînasse entre Châteauroux et Vierzon Le vendeur de sandwich distille sa mauvaise humeur Pas question d’accepter les dollars du voyageur, Ici c’est l’Euro monsieur ! Ses problèmes de monnaie envahissent l’espace sonore L’inconfort d’entendre et de comprendre les petites exigences de chacun, surprend ma pensée flottante Les vieux tremblent en demandant de l’aide pour ouvrir une canette  Le tiroir de la machine roulante, gardienne du café et autres gâteries, claque au